Enfances arrachées

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Rire. Jouer à la marelle ou aux billes. Aller à l’école, apprendre à lire et à écrire. S’amuser dans la cour de récréation avec ses amis. Tant de choses qui ne pourront jamais être vécues par des millions d’enfants dans le monde.  Le travail des enfants est un phénomène rampant dans notre société. Que faudrait-il penser du travail des enfants à notre époque? D’après moi, le travail des enfants est inhumain et ne respecte pas les droits humains les plus simples. Je parlerai des droits à l’enfance et à l’éducation afin de prouver ma thèse.

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Pour commencer, parlons de l’éducation. Comme l’a dit l’Unicef, « L’accès à une éducation sûre, accessible et de qualité supérieure encourage les familles à envoyer leurs enfants à l’école. » En effet, sans droits à l’éducation, la situation ne pourra pas s’améliorer. En n’allant pas à l’école, ces enfants ne pourront trouver d'emplois convenables pour subvenir à leurs besoins dans le futur. Ceci fera en sorte qu’ils feront travailler leurs enfants, continuant ce cercle vicieux. Le nombre de cas du travail infantile a grandement augmenté durant la pandémie de la Covid-19. Effectivement, à peu près 28% des enfants de 5 à 11 ans et 35% des enfants de 12 à 14 ans qui travaillent ne sont pas scolarisés dans le monde. C’est hallucinant que ce nombre soit aussi élevé. À peu près un enfant sur trois n’a pas reçu d’éducation! Savez-vous en quelle année ce nombre était aussi élevé?  C’était en 1920!  Le fait que l’éducation ne soit toujours pas accessible à tous est aberrant. De plus, le droit à l’éducation est l’un des droits les plus basiques de l’enfant, ce droit lui permettant d’apprendre et de développer son expérience sociale. Renier ce droit serait comme empêcher les enfants de grandir normalement.

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Pour continuer (...)

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Younes